Depuis l’ouverture de la chasse, atmosphère plombée pour la faune sauvage

En ce mois d’octobre, les fusils sont de sorties comme depuis septembre, pas forcément aux mains de chasseurs dûment formés d’ailleurs, ou pas très soucieux du maintien de la biodiversité…

Et donc encore 2 incidents, dont La voix du Nord, s’est fait l’écho par 2 fois, le 20 octobre, et un autre repris par L’avenir de l’Artois le 26 octobre.

Extrait de l’interview de la vétérinaire de Wizernes dans La voix du Nord : “…Depuis l’ouverture de la chasse il y a un mois, c’est une demi-douzaine de petits rapaces qui ont été recueillis par la clinique vétérinaire de Wizernes.”

S’il est possible de compter les blessés retrouvés à temps, et emmenés pour être parfois sauvés, les rapaces tués ne sont pas comptabilisés… car jamais déclarés et vite dissimulés !

Pourtant les rapaces même petits peuvent difficilement se confondre avec un pigeon ou un faisan. Et de toute façon, dans le doute, la bonne attitude ne serait-elle pas de baisser le fusil ? Car la situation de la biodiversité est telle que la préservation de la vie sauvage devrait toujours être privilégiée, au lieu de donner la mort ?

La voix du Nord du 20 octobre :

La colère froide du vétérinaire qui a tenté de le sauver

Balbuzard pêcheur plombé sur la commune de Tilques (article complet réservé aux abonnés)

L’avenir de l’Artois du 26 octobre :

Faucon crécerelle abattu près d’Arras (article complet réservé aux abonnés)

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