Constat : Le déclin des oiseaux, nombre d’espèces et nombre d’individus d’une même espèce, est plus important pour les oiseaux des champs et des campagnes que pour les espèces présentes en milieu urbain.
Les animaux sauvages sont de plus en plus nombreux en ville.
Le virus Sars-CoV-2 a été transmis aux hommes en raison de leur trop grande proximité avec les bêtes sauvages.
Ce questionnement sur “le sauvage” nous replonge dans l’histoire de Babar, Mowgli et Croc-Blanc !
Ceci à travers l’exposé de diverses circonstances où les humains sont amenés à coexister avec toutes sortes d’espèces sauvages de façon plus ou moins harmonieuse et impactante sur le vivant. Ainsi les renards à Londres et Zurich, les faucons pèlerins en haut des gratte-ciel et pygargues à tête blanche à proximité de la maison blanche, des léopards à Bombay, les kangourous à Canberra…
1500 espèces ont été recensées à Paris ! Des renards aux méduses dans la Seine…
Et savez-vous qu’en Inde, là où sont les léopards la rage recule !
Tels des réfugiés climatiques les bêtes sauvages sont-elles contraintes de s’exiler en ville ?
En quelque sorte devrions-nous songer à construire une nouvelle arche de Noé ?
Un ouvrage passionnant qui interroge de façon très riche notre conscience écologique, idéalement “interactions équilibrées entre des êtres différents”.
